Les manifestations violentes sont probablement dues à des éléments infiltrés par les autorités. Une "radicalisation" arrangerait bien le gouvernement.
Une première condamnation (en lien article du journale "Le Monde") est tombée : quatre mois avec sursis. Cette affaire où le jugement n'est pas définitif fait dresser l'oreille sur plusieurs points : extrême rapidité de la condamnation. Témoignage des policiers qui ont arrêté la personne poursuivie alors qu'elle leur demandait un renseignement !
Selon le compte rendu de l'audience, l' homme aurait attaqué les forces de police et serait ensuite aller leur demander un renseignement... Ce qui leur aurait permis de l'arrêter.
Ayant été avocat, je me méfie beaucoup des condamnations ultra-rapides d'une personne sans défense, timide, dépassée. J'ai vu plusieurs erreurs judiciaires de cette sorte. Les magistrats oublient souvent qu'ils ont des êtres humains à juger, souvent très intimidés et capables d'avouer des actes non commis.
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