Il est vraiment incroyable que l'État trouve de l'argent à dépenser pour la FIV, pour l'avortement, pour la contraception et pour tant de choses inutiles ou nuisibles (se rendant ainsi coupable de vol) mais n'a pas assez d'argent pour venir en aide aux personnes dans un état de grande nécessité. Pour les cas d'extrême nécessité(1), l'aide publique n'est pas facultative, elle est de droit, elle est de stricte justice. Cela augmente encore la responsabilité des législateurs et du pouvoir exécutif dans cette négligence des devoirs et ce gaspillage pour le mal.
(1) Rerum novarum : "Mais dès qu'on a accordé ce qu'il faut à la nécessité, à la bienséance, c'est un devoir de verser le superflu dans le sein des pauvres. "Ce qui reste, donnez-le en aumône" . C'est un devoir, non pas de stricte justice, sauf les cas d'extrême nécessité, mais de charité chrétienne, un devoir par conséquent dont on ne peut poursuivre l'accomplissement par l'action de la loi.
Si c'est un devoir de justice, c'est à l'État d'en assurer l'exécution.
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