26.3.13

Les magouilles électorales bafouent les droits de l'homme

La Déclaration universelle des droits de l'homme prévoit :

« Article 21
1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.
2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.
3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote. »


Or, on constate que le peuple qui, par millions, descend dans la rue est absolument absent des institutions (sauf quelques rares élus), des médias, de la "justice", des ministères. 

Pourquoi ? Parce que le mode de scrutin est injuste, parce qu'il y a de nombreuses fraudes impunies par suite de la terreur que font régner les hordes de gauche et maçonniques, parce que de nombreux hommes politiques ne voient que leurs intérêts à court terme (argent, pouvoir), parce que les médias sont monolithiques, parce que les écoles comme l'Institut d'études politiques, l'Ecole nationale d'administration, l'Ecole de la magistrature sélectionnent les hauts fonctionnaires selon des critères idéologiques définis par l'oligarchie. Le peuple n'est donc pas représenté. Nous ne sommes ni dans un État de droit, ni dans une démocratie.

J'ai moi-même été moralement "gazé" (c'est-à-dire empêché de parler, insulté, spolié) à plusieurs reprises par les anciens élèves de l'École de la magistrature qui agissent par idéologie partisane (pour eux je suis un « sale fachisse » qu'on doit empêcher de parler). J'ai été spécialement persécuté par l'ordre des avocats. 

Aucun commentaire: