Ils jouissent aussi d'un petit revenu accessoire constitué par les rançons des Occidentaux enlevés.
L'épouse d'un des otages enlevés depuis 2010, dans une déclaration à la presse, s'élève contre la politique de l'actuel gouvernement qui refuse de payer les rançons.
«Les rançons sont une goutte d'eau dans le financement du terrorisme par rapport à la drogue dans cette région. Ma famille et moi considérons qu'il se fourvoie dans sa gestion des otages, je suis dégoûtée», accuse-t-elle. »
Dans le cas des Moulin-Fournier, il faut payer la rançon d'autant plus que des enfants, dont un âgé de 5 ans, vivent dans des conditions très dures.
La solution ne peut être militaire. Il faut payer les rançons pour sauver les gens et les enfants.
La France a signé et ratifié la Convention des droits de l'enfant. Elle a donc l'obligation juridique de le faire pour les enfants et leurs parents.
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