Les religions ne peuvent jouir d'une liberté absolue. Ici comme dans tous les domaines des droits de l'homme, ceux-ci se limitent les uns par les autres et aucun droit de l'homme, même la liberté religieuse, ne peut être invoqué pour violer un autre droit de l'homme (voir notamment l'article 30 de la déclaration universelle du 10 décembre 1948 publiée sous l'égide de l'ONU)
Il existe une condition pour que « chaque confession religieuse voie garanti le libre exercice de ses activités de culte », c'est que la religion envisagée "n’est pas en opposition avec l'ordre moral et n’est pas dangereuse pour l'ordre public" (Discours aux juristes catholiques du 13 décembre 2006)
Cela implique que chaque religion se purifie dans ce qu'elle enseigne de tout élément en opposition grave avec les droits de l'homme.
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1 commentaire:
Très bien dit.
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