2.11.11

Civitas, communiqué : le chapelet n''est pas terroriste

Voici au communiqué de l'"Institut "Civitas" de la campagne médiatique :

Halte à l'amalgame : la récitation du chapelet ne relève pas du terrrorisme

Ce 2 novembre 2011, les locaux de Charlie Hebdo ont été incendiés par des terroristes, furieux que l'hebdomadaire satirique ait tourné en dérision leur prophète Mahomet.

Plusieurs éditorialistes, qui font honte à leur profession de journalistes, ont tenté d'amalgamer ces terroristes avec les catholiques qui prient depuis quelques jours devant le théâtre de la Ville en réparation de la profanation de l'image de Dieu qui a lieu chaque soir au cours de la pièce de Romeo Castellucci.

Civitas n'a jamais utilisé la violence et ne l'a jamais promue, contrairement aux "artistes" qui répandent des excéments sur le visage du Christ.

Il semble que deux jeunes ne faisant pas partie de l'Institut Civitas, ont cru malin de lancer un soir des oeufs et de l'huile. Il n'est pas permis de généraliser cette action de potache aux milliers de personnes qui se sont relayées pour prier chrétiennement dans la paix et le recueillement.

Il est regrettable que des autorités civiles et religieuses se soient ainsi abaissées à condamner gratuitement en généralisant sans discernement.

Comparer le recueillement de ces foules qui n'ont pour arme que leur chapelet avec des terroristes qui incendient et attentent à la vie d'auutrui est injuste et injurieux.

Jamais Civitas ne se taira. Ni pour dénoncer la christianophobie, ni pour refuser l'étiquette sournoise de fondamentaliste, ni pour rejeter avec force la violence d'islamistes dangereux.

Alain Escada, Secrétaire général de l'Institut Civitas

Civitas
17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil
01.34.11.16.94
secretariat@civitas-institut.com
www.francejeunessecivitas.com

Je soulignerais pour ma part que ce ne sont pas que des catholiques qui prient, mais chacun à sa façon et quelles que soient ses croyances ou incroyances, tous protestent légalement pour les droits de l'homme. Je n'ai pas les mêmes principes que ceux de l'Institut Civitas, je n'en suis que plus à l'aise pour défendre les droits de cet institut, comme je l'ai déjà fait sur ce blog en défendant la réputation de ses chefs.

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