De tous côtés, les organes de presse, Yves Daoudal, des ecclésiastiques et l'institut Civitas ne font que parler de "blasphème", de "christianophobie", soit pour les nier, soit pour les affirmer. Pendant ce temps-là, Asia Bibi est emprisonnée en l'attente de son exécution, justement pour "blasphème". Seuls les autorités et le petit personnel chargé de la répression entonnent sur les droits de l'homme sur lesquels ceux qui parlent de "blasphème" et de "christianophobie" restent rigoureusement muets. Ils ne parlent même pas des dix commandements qui sont le fondement des droits de l'homme.
Quel hasard, quelle coïncidence extraordinaire !
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