Voici comment le journal La Croix présente cette "oeuvre" sur l'Apocalypse :
"Quant au fond, les familiers de la série ne seront pas surpris par les certitudes des auteurs quant à la quasi-trahison du christianisme actuel à l’égard du message de Jésus. Avec, en ligne de fond, les effets, depuis vingt siècles, de la rupture entre Juifs et Chrétiens. La formule d’Alfred Loisy (1857-1940) affirmant que « Jésus annonçait le Royaume et (que) c’est l’Église qui est venue » sert en quelque sorte de fil rouge à cet exercice d’érudition, construit à partir de questions d’autodidactes."
Ce qui est intéressant, c'est de noter la certitude de ces amateurs que sont Mordillat et Prieur. Sur la terre un milliards de croyants mais ces petits messieurs largement rémunérés s'attaquent aux croyances des catholiques sans leur permettre de répliquer à leur soi-disant spécialistes et savants.
M'en tenant au droit et au juste je note que la propagande athée est payée par l'argent commun.
Cette propagande prend pour principe que le monde et l'Église est gouverné par l'intérêt et le machiavélisme en vue de tromper les foules crédules. Philosophiquement, c'est un principe qui n'est pas vrai, l'homme, naturellement doux et se sachant mortel, n'est pas dirigé par le lucre, il cherche la vérité.
L'Église a révolutionné le monde humain en bien. C'est une évidence historique niée sans aucune preuve par le triste Loisy. C'est aussi le foi pour le milliard et plus de catholique qui disent dans leur crédo "je crois en l'Église".
Ces émission sont une violation de la liberté religieuse. Cette propagande mensongère est imposée comme "vérité" par des charlatans et aux frais des catholiques. C'est exactement ce qui se passait dans la défunte URSS.
Dignitatis humanae § 6 (extrait) déclaration de Vatican II sur la liberté religieuse :
"il n'est pas permis au pouvoir public, par force, intimidation ou autres moyens, d'imposer aux citoyens la profession ou le rejet de quelque religion que ce soit, ou d'empêcher quelqu'un d'entrer dans une communauté religieuse ou de la quitter."
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