Dans "Centesimus annus" Jean-Paul II rappelle (à propos d'une matière voisine, mais le principe est valable partout et toujours) :
"D'où viennent, en effet, tous les maux que veut combattre Rerum novarum sinon d'une liberté qui, dans le domaine de l'activité économique et sociale, s'éloigne de la vérité de l'homme ?"
La vérité de l'homme est exprimée dans le mariage monogame et indissoluble (indissoluble sous certaines conditions). Ce contrat-sacrement est le sacrement de la création élevé à un grand mystère par la Rédemption.
C'est donc au nom du relativisme, de la croyance que l'homme ne peut atteindre à la vérité (croyance contradictoire) que l'on peut réclamer un pseudo "mariage" homosexuel. Cette croyance relativiste dissocie sans aucune titre à le faire, la liberté de la vérité.
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