La "fête" du 14 juillet est une honte. C'est la fête du mensonge et de l'assassinat absolument contraires aux droits de l'homme.
L'abbé Lafargue donne un excellent article sur son blog sur la question du 14 juillet :
Un des ressort de la révolution est l'immixtion sans titre de l'État et du parti qui le manipule dans les affaires de consciences et la violation de la liberté religieuse aujourd'hui reconnue par la Déclaration universelle des droits de l'homme.
"C'est une révolution profondément anti-chrétienne qui commence: le 11 août (1789), la dîme, qui permettait à l'Eglise d' assurer sa mission sociale dans les écoles et les hôpitaux, est supprimée; le 28 octobre, l'Assemblée suspend autoritairement le recrutement monastique; le 2 novembre, les biens ecclésiastiques sont saisis. Le 13 février 1790, les vœux monastiques sont interdits et les ordres contemplatifs supprimés. Le 23 février, l'Assemblée constituante décide que ses décrets seront dorénavant lus en chaire par les curés; le 17 mars, les biens de l'Eglise, déclarés biens nationaux, sont mis en vente; le 12 juillet, la Constitution civile du clergé est adoptée: les curés et les évêques sont "élus". Si le clergé veut rester fidèle au Pape et ne pas faire schisme, il est condamné à mort (ainsi que ceux qui les cachent ou fréquentent leurs sacrements)."
C'est une révolution anti-chrétienne, certes, mais surtout anti-humaine. Car l'homme est naturellement libre. Or, c'est une révolution violemment contraire à la liberté. La bande d'assassins qui la menait prétendait, mensongèrement, promouvoir cette liberté qu'elle bafouait en réalité.
(L'abbé Laffargue note que le triste Chirac remplaça la croix de Lorraine du général de Gaulle par le bonnet phrygien.)
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