Le P. Federico Lombardi qui passe pour le "porte parole du pape" et qui est officiellement le directeur de la salle de presse du Vatican a désiré attirer l'attention sur la Somalie qui vit une situation de chaos due à la sécheresse, mais aussi, selon moi, au fanatisme. Il a adressé un discours aux diplomates en poste auprès du Saint Siège. (Certains veulent anéantir l'État de Vatican qui n'aurait plus de ce fait la possibilité de s'adresser aux diplomates).
Les femmes et le enfants fuient vers les pays frontaliers à pieds et sont l'objet d'attaques des pillards et d'animaux sauvages (les hyènes). Les organisations humanitaires ne peuvent plus opérer dans le pays où les menaces d'assassinats sont importantes.
"En juillet 1989, rappelle le P. Lombardi, Mgr Salvatore Colombo, évêque de Mogadiscio, avait été assassiné devant la porte de la cathédrale. « Depuis, l’administrateur apostolique du diocèse réside hors du pays ». « En 2003, une volontaire laïque infirmière, Annalena Tonelli, était assassinée à coups de fusil en Somaliland, puis ce fut le tour de sœur Leonella Sgorbati, morte – comme le rappelait le pape le 7 janvier 2007 – ‘en invoquant le pardon de ses assassins’ »."
S'adressant aux diplomates, le P. Lombardi cependant ne propose rien de concret le pays est abandonné de tous, le Père demande certes que l'on ne l'oublie pas, mais il semble que seuls les États aient les moyens de faire quelque chose pour la Somalie. Nous nous n'avons que la prière pour les Somaliens.
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