« Le portefeuille avait déjà été retrouvé dans une poubelle. Il y manquait ses trois cartes bancaires, dont une au nom du syndicat, et bien sûr de l’argent liquide dont, par pudeur et discrétion, on ne nous parle pas. »
Ce n'est pas comme pour les manifestants, dont la presse décline les noms et prénoms (lorsqu'il s'agit de mauvais manifestants hostiles au gouvernement). Ici, on ne sait pas combien madame Martre trimbalait dans son sac. C'est trop peu pour qu'on en parle. Et puis elle n'a rien à voir avec le révisionisme...
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