Les spectacles Golgota picnic et Sur le concept du visage du Christ bafouaient la dignité de la personne humaine. Golgota picnic se moquait de la mort d'un homme, la "pièce" de Castelucci incitait des enfants à la haine... Ils étaient pourtant subventionnés par l'État français et protégés par la police française.
Le spectacle de Dieudonné qui met en cause une condamnation historique portée par des juges nécessairement partiaux (ils faisaient partie des ennemis des personnes jugées), il n'est en rien contraire à la dignité de la personne humaine.
Comme à l'habitude, la jurisprudence française, en application de la Constitution (préambule à la Constitution du 27 octobre 1946, article 1er), bafoue la dignité humaine... au nom de la dignité humaine...
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