« Comment pouvons nous, dans ce cas, ne pas condamner avec la plus grande force ce qui se veut être un modèle nécessaire au réveil de la conscience française. Comment prétendre que dans la lignée philosophique qui était la sienne cet acte puisse être compréhensible. Quel que soit le point de vue que l’on choisisse le néantissement est toujours l’aveu d’un échec. Dans la tradition européenne dont il se disait héritier il s’agit d’une fuite du combat, d’un abandon de poste, d’une trahison et non d’un choix héroïque. Vouloir rester maître de sa vie jusqu’au dernier instant et choisir comment se déroulera sa dernière minute ne peut être regardé que comme un acte d’égoïsme. Jusqu’au bout je me choisis. De ce fait je ne vois pas bien comment concilier l’abnégation que nécessite tout combat et le choix délibéré de rester maître de sa vie. »
23.5.13
Des paroles justes et profondes au sujet de l'affaire Venner
Des paroles justes de l'abbé Robinnes lues sur le « Forum catholique »
Un traitre, un égoïste, un minable, un lâcheur, un déserteur, un profanateur, un sacrilège, voilà ce qui qualifie l'auteur de ce geste abject.
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