25.5.13

Des gardés à vue assignent l'État

« Après leur interpellation en marge de la manifestation, elles avaient passé 44 heures en garde à vue, avant d'être laissées libres sans qu'aucune charge ne soit retenue contre elle. Les quatre personnes dénoncent «leur interpellation sans motif, leur placement en garde à vue injustifié et la prolongation infondée de cette garde à vue», selon le document de l'assignation.


Interpellées pour «violence avec arme sur personnes dépositaire de l'autorité publique, dégradations volontaires de biens publics en réunion et rébellion», les quatre personnes estiment qu'il s'agit de qualifications «fantaisistes». «Je pense que cette action sera suivie d'actions du même genre pour d'autres gardes à vue», a commenté Me de Beauregard. »


Un bon début : il est de la responsabilité de ceux qui ont été victimes d'injustices de lutter pour le rétablissement de l'État de droit en s'adressant aux autorités judiciaires, même lorsque le "Murs des c." fait douter de leur impartialité. La responsabilité du rétablissement de l'État de droit passera de la victime aux autorités.

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