"Qu’il soit fier de la gay pride organisée dans sa ville lui appartient. Qu’il ait honte des propos de l’évêque, c’est au moins une erreur de sujet et donc de grammaire, c’est surtout l’expression d’une abyssale ignorance des lois de la République. L’évêque s’est exprimé et a défendu publiquement l’Église et ses croyances. Il n’a pas demandé d’interdiction, mais suscité la réflexion. Le maire lui dénie ce droit à l’expression et prétend interdire à l’Église de se préoccuper des manifestations qui ont lieu dans une commune à la vie de laquelle elle participe. Qui n’est pas dans son rôle ? Qui porte atteinte à la liberté d’expression ? Monsieur Borotra donne inconsciemment un bel exemple de la pensée unique : c’est sans doute en raison de la liberté qu’il prétend interdire à l’évêque de s’exprimer."
http://www.christianvanneste.fr/?p=2709
C'est de Christian Vanneste.
Au nom de la laïcité, il faudrait que l'Eglise se taise, reste sur le terrain purement spirituel, à la rigueur de théologie fondamentale, de la philosophie mais sans aborder le terrain pratique.
Au nom de la liberté, on entend interdire l'expression d'une certaine opinion.
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