22.8.15
Quand monsieur Le Pen dynamite sans s'en apercevoir la notion de crime contre l'humanité
Ce que monsieur Le Pen veut dire c'est que quand on est mort, on est mort. Donc qu'un assassinat est un assassinat et que des millions d'assassinats sont des assassinats en série.
Mourir dans une chambre à gaz ou mourir étouffé par le phosphore brûlant quel est le sort le plus enviable ? (1)
Monsieur Le Pen, visiblement terrorisé, n'a pas assez de culture juridique ni de maîtrise de soi, pour expliquer, ou plutôt pour comprendre qu'en affirmant cela il dynamite la notion de "crime contre l'humanité". Le bon sens populaire ne suffit pas.
Cette notion de crime contre l'humanité introduit l'hystérie dans le droit. Donc l'hystérie est au centre du droit objectif puisque cette notion, vide de sens, tend à devenir la notion centrale du droit.
Cette hystérie les politiciens, les journalistes et les magistrats en sont les protecteurs vigilants.
Le reste de cette histoire Le Pen contre Le Pen n'a pas beaucoup d'importance...
(1) À propos combien d'enfants juifs moururent-ils des suites des bombardements alliés sur l'Allemagne, la France et l'Italie ? L'Italie en effet, seule au monde avec peut-être la Hongrie d'extrême-droite, recueillit en masse et sans condition, les juifs qui fuyaient les persécutions hitlériennes (Hitler, marionnette des Américains et des sionistes, provocateur et bourreau du peuple allemand).
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