7.8.15

Le pauvre cordonnier injustement vilipendé par Vincent Reynouard

Une des grandes idées récurrentes de monsieur Reynouard est que le peuple est d'accord avec les méchants puisqu'il adhère à l'idéologie des méchants.

Monsieur Reynouard est ingénieur et il a consacré sa vie à l'étude du national-socialisme. Il a donc un bagage culturelle très important et le Créateur l'a doté d'une vive intelligence.

Ce n'est pas le cas de tout le monde.

Le cordonnier doit se contenter des problèmes de chaussures à réparer ou à confectionner. Il dira des choses justes au sujet de son métier, pourra transmettre son savoir-faire, mais pour le reste, il s'en remettra aux savants, aux intelligents.



Je n'arrive pas à retrouver ce texte de que saint Pie X avait ordonné qu'il soit affiché dans les locaux des syndicats chrétiens. Ce texte dit à peu près qu'il est normal et voulu par Dieu que la société soit composée de riches et de pauvres, de savants et d'ignorants, d'intelligents et de peu intelligents, de chefs et d'autres voués à l'obéissance.

On ne peut donc accuser le pauvre cordonnier dans son échoppe de ne pas savoir comment exposer que le mariage homosexuel est une escroquerie. Les faibles, les pauvres sont plus en danger que les autres. Ils suivent les savants et les intelligents sur les questions qui leur échappent. Il ne faut donc pas les accuser, il faut les aimer, les respecter.

La disparition de la foi chrétienne en Europe est dû à la politique criminelle du bienheureux Paul VI. La destruction de la culture liturgique par ce pape, la violation éhontée des droits des peuples et des droits de l'homme, du droit à la liberté religieuse notamment, par ce pape est une des principales raisons de la disparition de la foi catholique. (Une autre raison est la manipulation des statistiques, mais c'est une autre histoire). Si le chef piétine vos droits et détruit la société dont il a la charge, le peuple livré à lui-même, désorienté, s'éloigne de cette société.

D'ailleurs ce principe d'inégalité contingente est ce qui fonde la société. Tout le monde se fie aux autres. Par exemple, je m'en remets à mon médecin pour ses ordonnances.

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