Les petites villes secondaires qu'étaient Herculanum et Pompei étaient couvertes d'incroyables œuvres d'art d'une beauté sublime. Elles ne sont parvenues jusqu'à nous que par hasard.
Quel luxe y avait-il dans l'Antiquité à Rome, en Gaule et en Germanie ? Nous ne le saurons pas dans cette vie. On peut toutefois l'imaginer.
Ces découvertes démentent bien des idées historiques contemporaines.
Elles confirment toutefois ce que je crois avoir lu sur les quatre âges de l'humanité sur la terre: 1) l'âge d'or, avant le péché originel, 2) l'âge d'argent du péché originel au déluge, 3) l'argent d'airain du déluge à la venue de Jésus-Christ, 4) l'âge de fer de Jésus-Christ à la fin du monde.
L'âge de fer, le nôtre, est un âge paradoxal dans lequel se mêle progrès technique et intellectuel, et successions d'horreurs sans nom, l'accroissement des souffrances de tous ordres et la multiplication des crimes plus abominables les uns que les autres. Ce qui nous est parvenu de Pompéi laisse deviner une vie plus calme, plus pacifique. Le démon ne laisse pas échapper sa proie...
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