Les viols étaient très rares dans les sociétés occidentales avant mai 68.
La raison de cette rareté est à aller chercher dans ce que pensaient les garçons. Le respect de la femme était effectif. La réprobation du viol était unanime et extrêmement forte. Le violeur était stigmatisé comme un être abject.
Aujourd'hui des hommes politiques en vue confessent leur pédophilie, leurs viols d'enfants ou de jeunes adolescents.
Pourquoi ? Parce qu'ils pensent que ce n'est pas mal. Que le sexe doit être enseigné aux enfants, qu'il y a une sexualité enfantine.
Citation tirée d'un site officiel de la République Française :
"La découverte de la différence des sexes représente une perte pour tout enfant : le garçon comprend qu'il ne portera pas d'enfant comme sa maman, et la fille qu'elle ne dispose pas de cet appendice qu'elle convoite dans un premier temps. C'est l'âge (environ trois ans) où l'enfant cherche à savoir « comment on fait les bébés ». Là encore la parole des parents est essentielle pour intégrer ce qu'est la sexualité, plaisir compris. L'enfant apprend que ses parents ont été eux-mêmes engendrés selon l'ordre des générations auquel tous les humains sont soumis, et qu'il appartient à une lignée."
Dit une revue éditée par le ministère des affaires étrangères, soit avec l'argent de nos impôts.
http://www.diplomatie.gouv.fr/label_france/france/DOSSIER/enfance/sommaire.html
"Plaisir compris" à trois ans. Selon Dolto, relayée par les autorités publiques française, un enfant de trois ans a une sexualité de plaisir. C'est de la littérature pédophile.
La psychanalyse est une méthode pour raconter n'importe et justifier n'importe quoi. On présente ainsi comme une découverte l'idée invérifiable et contraire à l'expérience que l'embryon a un inconscient et que les enfants psychotiques naissent de mère qui oublieraient leurs grossesses. Le discours souffre tout bien sûr, même des inepties les plus risibles, mais hélas provoquant des ravages chez les "croyants".
Dolto est un vecteur de folies et de drames.
Car en réalité le sexe n'est pas dans l'âme. Un petit garçon ou une petite fille ne se font pas ce genre de réflexion, sauf si on leur en a parlé. Et si on leur en a parlé on leur a inculqué une bêtise. Ce qui intéresse le petit d'homme, mâle ou femelle c'est qu'il a une intelligence à cultiver, une vie à gouverner. Le sexe ne l'intéressera que bien plus tard et encore certains ne s'y intéresseront jamais (ste Thérèse de l'Enfant Jésus par exemple).
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1 commentaire:
C'est un sujet atroce. J'ai vu en effet un article sur Wikipedia dans lequel un politicien parlait de son rapport avec les petits enfants au temps de la révolution de 68... Mais Wikipedia n'est pas parole d'évangile.....
Quant à votre dernier paragraphe, je ne suis pas sûre d'être tout à fait d'accord avec vous.
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