J'ai déjà consacré
plusieurs posts à
l'affaire de ma fille Hélène Merlin-Poudré. En voici un autre.
Lorsque, "mon" avocat ne voulant pas plaider pour moi, j'ai dû faire mille kilomètres (aller) pour plaider ma cause devant la racaille judiciaire décorée. Le président ouvrit l'audience en tentant de m'intimider.
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Hélène |
Il se mit à parcourir le "par ces motifs" pour trouver une demande ridicule qu'il pourrait exposer en public. N'en trouvant pas, il se mit à lire la demande concernant la chienne de ma fille. Cette chienne de race et de grand prix n'apparaissait pas sur la liste succincte établie par le notaire (il n'y a pas eu d'inventaire). Je savais qu'Hélène avait acheté une chienne en vue de lui faire avoir des petits pour les vendre. La chienne se trouvait dans le jardin au moment du mystérieux incendie. Cette chienne, (à la différence de la chatte, morte avec Ferdinand dans la même chambre) avait, elle, eu la vie sauve.
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Ferdinand |
La racaille judiciaire décorée énonça donc la demande concernant la chienne pour tenter de ridiculiser le père de la femme morte dans l'incendie. Un gros délicat, le décoré de la Légion d'honneur ! Il espérait ainsi prendre à témoin la salle pour que je subisse une
bronca. Manque de chance pour lui, cela ne se produisit pas et il en fut pour ses frais. Mon avocat-traitre était derrière moi (sans que je lui ai demandé quoi que ce soit. J'aurais préféré qu'il ne soit pas présent). Je répondis du tac au tac que la chienne était une chienne de prix, comme il y a des animaux de prix et que de plus les petits des animaux accroissent les biens des propriétaires indivis (code civil article 547). Cela ferma la bouche de ce vaurien décoré.
L'inventaire est un instrument de preuve où les parties signent et évaluent sous leur responsabilité en déclarant
in fine qu'il n'existe pas, à leur connaissance, d'autres biens à partager. C'est le document central du partage. La prétention de l'ordure décorée à me faire produire des preuves était donc odieuse et fantaisiste. Nous étions en matière de partage où tout le monde est en même temps, en défense et en demande. Il le savait le salopard, mais il faisait semblant de ne pas le savoir.
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Ferdinand |
Lorsque vint le moment de plaider, étant appelant j'avais la parole en premier. Je fis en deux minutes chrono un résumé de la situation générale. Lorsque je m'apprêtais à entrer dans le vif du sujet, et à plaider succinctement, l'avocat adverse m'interrompit immédiatement (plan concerté avec le Président ? probable). Alors que je n'avais pas même abordé la question de la valeur de la maison, donc de l'expertise, l'avocat-voyou m'apostropha sous le regard approbateur de la racaille décorée. Il me dit, mentant effrontément, donc se parjurant par la même occasion, qu'il y avait déjà eu une expertise. Je lui répondis donc "Vous mentez !". Ce qui était vrai.
Aussitôt la racaille décorée, qui n'attendait que cela, parce qu'elle savait qu'elle aussi se parjurait, m'intima l'ordre de me taire (procédé malhonnête par lequel elle espérait que personne ne puisse plus constater sa partialité effrontée). Je sortis un moment pour reprendre mes esprits devant l'agression odieuse dont je venais d'être victime de la part du magistrat. Lorsque je revins, trois minutes plus tard, l'avocat menteur, diffamateur et malhonnête finissait sa plaidoirie.
Je me précipitais, seul, vers ma voiture pour refaire en sens inverse mon voyage de 1 000 km.
Voilà comment en 2014, le monde judiciaire traite un père dont la fille et le petit-fils sont morts dans un incendie suspect !
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Ferdinand |
Sans surprise l'arrêt des racailles judiciaires me déboutait de toutes mes demandes sans même les examiner et, « caca fumant » sur le tas d'ordures, il me condamnait à une amende de 800 € pour recours abusif !
J'ai vécu pendant des dizaines d'années dans le monde judiciaire (clerc d'huissier, clerc d'avoué, puis avocat), je n'ai pris que tardivement conscience que ce monde est, sauf très rares exceptions, un monde de voyous.