L'Église veut dialoguer avec l'islam. C'est son affaire qui ne concerne pas directement la société laïque.
Voici ce que l'on lit après l'inauguration d'une mosquée à Béziers :
« Mais les voisins persistent. "Nous ne pouvons pas rentrer dans notre garage, assure l’un d’eux, sous couvert d’anonymat. Ou nous sommes empêchés d’en sortir. Leurs véhicules sont sous nos fenêtres, moteurs tournants. Il faut s’enfermer, même quand il fait chaud. Le quartier est devenu invivable. Nous voulons vendre, mais notre maison a perdu toute sa valeur depuis que la mosquée est là." »
Il est inutile de faire des déclarations apaisantes niant l'évidence. On constate que ce qui est prêché dans les mosquées ne peut être que contraire à l'égalité de tous les êtres humains et à la liberté en un mot aux droits universels et fondamentaux de l'homme. Ces faits trahissent que l'on prêche dans ces mosquées que les musulmans ont des droits supérieurs à ceux des non-musulmans.
Il n'y a pas de droit de l'homme contre les droits de l'homme. Il n'y a pas de liberté religieuse pour prêcher contre l'égalité. La démission de l'État de sa mission de faire observer le droit objectif est aussi un fait qui se constate. La surveillance des mosquées n'est pas assurée et les menées contre le droit ne sont pas réprimées. Il est d'ailleurs assez cohérent que dans un pays abortiste, qui a voté une "loi" sur le "mariage" homosexuel, les autres droits de l'homme ne soient pas respectés.
Aucune religion, même pas la catholique par hypothèse, ne peut prêcher contre l'égalité de tous les êtres humains quelles que soient leurs croyances ou incroyances dans la jouissance de leurs droits fondamentaux.
La France n'est donc pas un État de droit. Les droits de l'homme ne règnent pas en France. Mais comme les droits de l'homme sont un bloc, commençons par lutter contre l'avortement et le "mariage" homosexuel.
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