« Je me suis rapproché du commissaire et des chefs de section et j'ai alors entendu le commissaire donner des instructions à un gendarme mobile pour témoigner à charge contre les jeunes interpellés ! »
Voilà sur quels "témoignages" sont rendus les jugements français. Voilà comment on "sait" que monsieur Nicolas Buss a donné une fausse identité et qu'il a été condamné une première fois à non dispersions.
Que valent les jugements rendus dans de telles conditions ?
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