« Depuis son incarcération et jusqu’à hier, Nicolas a été totalement isolé, coupé de tout contact humain, si ce n’est lors des deux fouilles quotidiennes, faites dans des conditions humiliantes. Il a été privé de toute hygiène - toilette, changement de vêtements, etc. - et privé de toute possibilité de s’aérer le corps et l’esprit pendant 9 jours. Ni promenade quotidienne, ni lecture de livre, ni aucune autre activité n’a été possible pour lui à part la lecture des lettres adressées par des milliers de français indignés. »
Ces traitements inhumains et dégradants sont infligés par l'administration pénitentiaire dépendant du ministère de la Justice bafouant la Convention européenne des droits de l'homme (article 3). La liberté d'expression est aussi violée parce que ces traitement sont infligés en raison des opinions des personnes torturées et pour obtenir leur silence.
Il ne suffit pas de les dénoncer platoniquement. Ils ne doivent pas rester impunis. Des plaintes sont à déposer. Des sanctions judiciaires doivent être prises contre les responsables de ces agissements coupables.
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