2.5.16

Les tueurs sans contact

Selon mon évêque, Mgr Di Falco-Léandri, un psychiatre américain enseignerait que la solitude tue.

Lorsque l'on écoute l'exposé de ce psychiatre, il en ressort que l'on peut être seul dans une foule et même seul alors que l'on est marié.

Bref, c'est compliqué. Mais il y a une difficulté logique: est-on seul parce que l'on est en mauvaise santé, ou la solitude entraîne-t-elle la mauvaise santé ?



Un alcoolique, un obèse éloignera les femmes de lui. Une déprimée n'attirera pas les hommes. Le problème: sont-ils obèses ou déprimés parce qu'ils sont seuls ou seuls parce qu'obèses et déprimés ?

Donc notre bon psychiatre se trompe en corrélant la solitude à la maladie. Nous touchons d'ailleurs ici un des vices des sciences sociales. Elles concluent souvent de statistiques à une règle générale de cause à effet, alors que les statistiques n'établissent qu'une occurrence: deux faits dont on constate la concomitance, sans pouvoir conclure à une relation de cause à effet.



Il est cependant certain, que les personnes qui cherchent à isoler un individu, peuvent chercher à le tuer. Au dire de saint François de Sales nous avons trois vies: 1) la vie spirituelle que personne ne peut nous ôter sauf nous-mêmes 2) la vie physique, 3) la vie sociale que l'on peut nous enlever par la mauvaise réputation (diffamation, calomnie, médisance). J'ajoute que l'on peut ôter la vie sociale en spoliant un individu de ses biens matériels, de ses moyens de subsistance.

Certains, sans toucher à la vie physique directement, peuvent tenter de l'atteindre indirectement en ruinant la vie sociale. Les magistrats français ont tenté et tentent cela contre moi. Par exemple, ils m'ont fait payer quatre années d'une partie de la taxe foncière (500 € * 4 = 2 000 €) d'une propriété "louée" à mes frères par ma mère 2 300 € par an, par an. Cela ce sont les services fiscaux des Bouches du Rhône et les magistrats du tribunal administratif de Marseille. Mais il y a eu plus fort: l'infâme cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné ma mère (95 ans) à payer 500 000 € de réparation sur ladite propriété en faveur des locataires (dont trois maçons) qui avaient "loué" le bien pour 2 300 € par an, par an.

Ce ne sont que des exemples parmi d'autres.

Tenez, plus récemment (en 2016), un magistrat a validé une saisie sur retraite contre moi, sans que j'aie pu savoir, ce que la demanderesse à la saisie, la maçonnique société Eiffage, demandait, ni à quel titre. Ensuite le même tribunal, dans sa rage à me condamner, avait rendu une décision qui mécontentait (très) partiellement Eiffage. C'était une erreur, devait probablement prétendre EIFFAGE. La jugesse a donc rendu une nouvelle décision de rectification sans même m'avoir averti de son intention de rectifier.

J'imagine un coup de fil de l'avocat d'Eiffage à la magistrate (car pourquoi une magistrate, autre que le magistrat qui a signé la décision, se serait-elle saisie de la décision de son collègue ?).

"L'avocat au téléphone:

- Dis-donc, il y a un truc dans le jugement de Un Tel. Tu comprends ça me nuit sa rédaction, là dans le deuxième paragraphe du dispositif. Faudrait voir à ce que tu rectifies."

La magistrate:

"- Ho ! flute alors, l'imbécile ! T'inquiète, je vais rectifier ça ! Le Merlin, il va pas y échapper !"

L'avocat:

"- Oui, t'es sympa, parce qu'il faut lui donner une bonne leçon à cet anti-maçon ! Je t'embrasse ma chérie ! À plus ! "

La magistrate:

- Je t'embrasse !"


Et hop ! le tour est joué, la décision est "rectifiée" sans autre forme de procès.

Je peux donc en conclure que les magistrats français ont tenté et tentent encore de me tuer. Par spoliation systématique et par massacre de ma réputation.

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