Maître Scipilliti s'est suicidé après avoir tiré sur le bâtonnier. Maître Ripert a dit que les magistrats étaient "malhonnêtes", maître Delcroix a été contraint à la démission. Moi-même j'ai été rendu malade par les magistrats. Ce sont des affaires connues.
Maître Scipilliti disait que l'avocat n'était rien. En effet, le magistrat de mauvaise foi peut anéantir en trois lignes un travail de plusieurs dizaines ou centaines d'heures.
Quand je croyais encore à l'honnêteté des magistrats j'avais rédigé une assignation. J'étais représenté par un avocat parce que le bâtonnier (j'étais alors avocat), par une décision tyrannique, avait exigé que je ne plaide pas moi-même mes affaires. Il n'y avait aucun droit. C'était une méchanceté. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles je n'ai pas souhaité l'honorariat: être libéré de la tyrannie de la bâtonnerie.
Voici probablement l'ordonnance de référé (je n'ai pas les moyens de me procurer le logiciel paperport). En tous cas j'atteste que le juge prévaricateur avait jugé contre la loi et contre l'évidence qu'il était incompétent.
Car le président du tribunal de grande instance statuant comme en matière de référé a compétence exclusive pour les affaires de gestion de bien indivis. Il est évident que si, par exemple, l'instance en partage n'aboutit pas, l'indivision restera. ll faut donc une décision définitive qui ne dépende pas des aléas de l'éventuelle instance en partage.
Tout juriste versé dans les affaires d'indivision et de partage le sait. Le président le savait. Mais... Il avait reçu instruction de me donner tort, donc en trois lignes et de mauvaise foi, il s'était déclaré incompétent.
Ce genre de décision nuit non seulement aux parties, mais encore à l'ensemble de la communauté des hommes. Car les gaspillages et les instances "gratuites" vont dès lors se multiplier et la pagaille s'amplifier au détriment du bien commun. Les appartements à l'abandon, squattés ou détruits, les biens immobiliers qui ne servent pas au bien commun. Les magistrats corrompus s'en moquent. À la fin du mois, ils ont leur traitement et la considération de leur amis, sans compter la Légion d'honneur comme le nommé Beuzit de la cour d'appel de Rennes...
Je comprends donc maître Scipilliti qui a dû se retrouver dans le piège de la bâtonnerie perverse et des juges corrompus. Il a dû déplaire. Dès lors, il était sur la liste noire. Il n'avait jamais raison et son travail était systématiquement envoyé à la poubelle.
Voilà l'œuvre des honnêtes juges français.
Par ce genre de décisions, la magistrature prive le trésor public de substantielles recettes. Qu'importe ! la haine passe bien avant la justice devant les tribunaux français. D'ailleurs, quand il le faut, les malhonnêtes juges français savent pratiquer directement la fraude fiscale au profit de leurs copains maçons. Alors indirectement, il s'en moquent encore plus... Le manque à gagner pour le trésor public en raison de la violation de la loi ? Ils s'en moquent, mais à un point ! Ce souci ne leur traverse même pas la tête.
Maître Scipilliti disait que l'avocat n'était rien. En effet, le magistrat de mauvaise foi peut anéantir en trois lignes un travail de plusieurs dizaines ou centaines d'heures.
Quand je croyais encore à l'honnêteté des magistrats j'avais rédigé une assignation. J'étais représenté par un avocat parce que le bâtonnier (j'étais alors avocat), par une décision tyrannique, avait exigé que je ne plaide pas moi-même mes affaires. Il n'y avait aucun droit. C'était une méchanceté. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles je n'ai pas souhaité l'honorariat: être libéré de la tyrannie de la bâtonnerie.
Voici probablement l'ordonnance de référé (je n'ai pas les moyens de me procurer le logiciel paperport). En tous cas j'atteste que le juge prévaricateur avait jugé contre la loi et contre l'évidence qu'il était incompétent.
Car le président du tribunal de grande instance statuant comme en matière de référé a compétence exclusive pour les affaires de gestion de bien indivis. Il est évident que si, par exemple, l'instance en partage n'aboutit pas, l'indivision restera. ll faut donc une décision définitive qui ne dépende pas des aléas de l'éventuelle instance en partage.
Tout juriste versé dans les affaires d'indivision et de partage le sait. Le président le savait. Mais... Il avait reçu instruction de me donner tort, donc en trois lignes et de mauvaise foi, il s'était déclaré incompétent.
Ce genre de décision nuit non seulement aux parties, mais encore à l'ensemble de la communauté des hommes. Car les gaspillages et les instances "gratuites" vont dès lors se multiplier et la pagaille s'amplifier au détriment du bien commun. Les appartements à l'abandon, squattés ou détruits, les biens immobiliers qui ne servent pas au bien commun. Les magistrats corrompus s'en moquent. À la fin du mois, ils ont leur traitement et la considération de leur amis, sans compter la Légion d'honneur comme le nommé Beuzit de la cour d'appel de Rennes...
Je comprends donc maître Scipilliti qui a dû se retrouver dans le piège de la bâtonnerie perverse et des juges corrompus. Il a dû déplaire. Dès lors, il était sur la liste noire. Il n'avait jamais raison et son travail était systématiquement envoyé à la poubelle.
Voilà l'œuvre des honnêtes juges français.
Par ce genre de décisions, la magistrature prive le trésor public de substantielles recettes. Qu'importe ! la haine passe bien avant la justice devant les tribunaux français. D'ailleurs, quand il le faut, les malhonnêtes juges français savent pratiquer directement la fraude fiscale au profit de leurs copains maçons. Alors indirectement, il s'en moquent encore plus... Le manque à gagner pour le trésor public en raison de la violation de la loi ? Ils s'en moquent, mais à un point ! Ce souci ne leur traverse même pas la tête.
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