Certains prônent l'« union des croyants » au sujet la théorie du genre. Mais cette union des croyants est irrecevable au plan politique.
Le piège est de discuter avec les termes de « musulmans » « catholiques ».
Les fois partagent l’humanité. La raison et la vérité est le seul langage commun à l’humanité entière.
La raison nous montre que les peuples sont différents ethniquement et culturellement. Cela fonde leur droit à l’identité et à un territoire.
La liberté des peuples leur permet d’embrasser publiquement une foi, sans pouvoir jamais l’enseigner. Donc l’État ne peut enseigner, d’ailleurs indirectement, que la raison et les conclusions de la raison, il ne peut se réclamer que de la raison qui protège la LIBERTÉ.
Pour ces raisons, il est impossible qu’il y ait une « union des croyants » sur les questions politiques et sociales. Il y a union des être humains, union des Français. Il ne peut y avoir d’accord que sur la liberté religieuse qui est une donnée de la raison.
En revanche, il y a un ordre public français qui s’impose à tous les Français et à tous les étrangers résidant sur le territoire français. C’est sur ce fondement que se fera l’unité. Ce fondement, c’est la 1) raison universelle de l’homme, 2) la justice qui entraîne 3) la liberté religieuse et puis, vérité de la liberté, vérité de l’égalité et vérité de la fraternité, droit à l’identité nationale, doit à la culture nationale.
Chercher l’union des croyants pour en faire une force politique est donc contraire à l’ordre public français, il conduit à la fragmentation de l’unité nationale en excluant, par exemple, les athées et les agnostiques de la lutte pour le bien commun. Ce qui est une injustice.
L’union des croyants s’oppose donc à la liberté, à l’égalité et à la fraternité. Elle bafoue l’ordre public français. Elle doit donc être bannie ou au moins combattue, car contraire aux intérêts du peuple français et à la vérité des droits de l’homme.
Le droit à la culture nationale comprend la liberté collective, nationale, française de se référer à la doctrine catholique (par exemple sur le repos du dimanche et sur le mariage monogamique et indissoluble). C’est notre liberté collective. Car ce n'est pas contraire à la raison universelle de l'homme.
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