« Au moins la Sainte Inquisition se souciait-elle de chercher et de « trouver » ou d’inventer des preuves de la rencontre de telle sorcière avec le Diable. Au moins disposait-elle d’un répertoire où étaient, par exemple, énumérés, nous dit-on, les soixante endroits du corps de la femme où pouvaient se déceler les traces du passage du Diable. »
Ces forgeries issues de la propagande anglaise anti-catholique sont prises, presque, pour argent comptant par le pape du révisionnisme.
Car il ajoute, malin, "nous dit-on". Qui c'est ça "on" ? Pratique de diffamer ainsi gravement une sainte et progressiste institution en faisant mentionnant subrepticement des légendes ridicules.
Voir mes posts au sujet de cette sainte et progressiste institution.
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