Piroska Nagy avait quant à elle raconté au cabinet d'avocats mandaté par le FMI que son supérieur était un « homme agressif ». Elle avait eu peur qu'il « ait un problème pouvant le rendre peu adapté à la direction d'une institution où des femmes travaillent sous ses ordres ». Maître Koubbi s'est appuyé sur ces phrases pour écrire sa missive au parquet de Paris : « A la lumière de ces propos, il apparaît absolument nécessaire à la manifestation de la vérité dans le cadre de l'enquête en cours, que Madame Piroska Nagy soit entendue afin d'être éclairé sur les habitudes de Monsieur Dominique Strauss-Kahn en la matière ».
Apparemment DSK n'a pas laissé un bon souvenir à madame Nagy, ni à mademoiselle Banon, ni à la mère de mademoiselle Banon, ni à madame Diallo. Ce n'est décidément pas un grand séducteur.
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