Le président de l'Institut pour les œuvres de religion (dit : "le banquier du Vatican) préconise, lui, pour sortir de la crise, de réorienter l'épargne vers les entreprises moyennes et performantes au lieu de l'orienter vers la diminution de la dette.
Ce qui manque aujourd'hui est plutôt, en effet, de l'activité. L'activité augmente les recettes fiscales et permet de payer la dette plus facilement. Il se prononce aussi contre l'inflation qui pénalise l'épargne. C'est, selon lui, par ce moyen que l'on sortira de la crise et non par la solution malthusienne aujourd'hui généralement préconisée et appliquée. Enfin, il pense une période d'austérité inévitable, mais veut qu'elle soit gérée avec probité. La première probité, selon moi, serait de cesser de rembourser les frais liés à des actes immoraux comme l'avortement.
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