« Chers frères et soeurs musulmans,
Voici la grande fête de l’Aïd.
A cette occasion, nous vous souhaitons joie, prospérité et paix. Nous voulons aussi vous exprimer nos sentiments les plus fraternels.(…)
Beaucoup de ces drames vous touchent plus profondément que les autres citoyens français, parce que ces tragédies impliquent souvent des musulmans et que les personnes exclues, blessées, assassinées, déplacées, exilées sont majoritairement des musulmans.(…)
La fête de l’Aïd est celle de la confiance en Dieu d’Abraham au moment du sacrifice. Nous voulons, au plus profond de notre foi chrétienne, nous unir à vous dans cette confiance : Dieu est miséricordieux ! »Cet évêque fragmente l'humanité en prétendant que les musulmans seraient plus dignes de compassion que les autres humains et ils le seraient parce que musulmans. Les droits spéciaux à la compassion s'étendraient donc même à ceux qui ne sont pas persécutés. Que c'est odieux ! C'est un appel à la discrimination.
Mais juridiquement il y plus grave:
La « fête » de l’aïd-el-kébir bafoue l’hygiène et la santé publiques. Elle est une source d’accroissement des dépenses publiques, elle est donc un attentat contre les pauvres. Elle est l’occasion d’un spectacle dégradant abaissant la moralité des enfants.
Monseigneur Dubost mérite des sanctions pénales pour sa mauvaise action contre le bien commun.
Les laïcs ont des droits qui leur sont directement conférés par Dieu. Eux aussi doivent poursuivre un bien commun impartial et valable pour tous. De cet ordre public, les évêques ne peuvent s'abstraire.
Un État impartial devrait donc étudier le cas de cet évêque en vue d'engager des poursuites pour rétablir l'ordre.
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