7.1.13

La "pilule" est en fait un abortif

Lu dans un commentaire du Salon beige à propos de la "pilule". Les commentaires entre crochets sont de moi


« génération après génération [de pilules, c'est un image que d'employer le terme de "génération" dans ce sens, les pilules ne se reproduisent pas !], les pilules sont de moins en moins dosées en oestrogènes car cette hormone dans sa forme artificielle (ce qui est le cas pour les pilules) est la principale cause des effets secondaires [lire tromboses, infarctus, voire décès etc.].
Conséquence, sans oestrogène l'ovulation n'est plus bloquée. Pour que la pilule reste empêche le développement d'une grossesse, il a fallu ajouter d'autres effets :
- ralentissement des mouvements des trompes, permettant d'aider la progression des spermatozoïdes dans un sens, mais aussi celle du bébé dans l'autre sens, donc abortif [l'embryon est maltraité et meurt avant d'arriver à l'utérus]
- détérioration de la glaire cervicale par détérioration des glandes qui la sécrètent et détérioration des poches, ce qui à moyen ou long terme finit par rendre la femme stérile tellement ces glandes sont abimées. La glaire cervicale sert à fermer ou ouvrir le col (cervix) de l'utérus et à nourrir les spermatozoïdes ainsi qu'à les trier, effet stérilisant [effets détraquant à long terme sur les mécanismes très délicats de l'organisme féminin]
- empêchement du bon développement de l'endomètre, effet abortif [l'endomètre est le revêtement muqueux intérieur de l'utérus]
selon Mgr Aupetit [la "Conférence épiscopale française a parlé de conflits de devoirs au sujet de l'usage de la "pilule" se rendant ainsi complice de graves crimes], ces pilules provoquent en moyenne 2 avortements non-volontaires ni naturels par an et par femme.
En tant que moniteur billings, nous avons reçu un couple nous témoignant de cela : malgré l'utilisation de la pilule, la femme avait observé lors de ses règles quelque chose de trop important que d'habitude. (...) »

Le évêques français avaient publié une note pastorale très alambiquée, mais qui ne les innocentait pas pour autant de ce crime, en voici un extrait :

« La contraception ne peut jamais être un bien. Elle est toujours un désordre, mais ce désordre n’est pas toujours coupable. Il arrive, en effet, que des époux se considèrent en face de véritables conflits de devoirs.  »

 Bien sûr en général les évêques ne sont ni médecin, ni pharmacien, mais en refusant de condamner la commercialisation de ce poison et en encourageant, en fait, l'usage, ils sont responsables.

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