19.1.13

Si la justice est l'enjeu de luttes communautaires, ce n'est plus la justice

Selon Atlantico la "justice", mais aussi selon la "loi", on distingue selon la foi ou la communauté, ou les mœurs, ou le sexe. Le journaliste a intitulé sont article "Comment la justice est devenue un terrain de luttes communautaires et religieuses".

Mais cet article ne souffle mot des lois. Or les lois pénales et civiles fragmentent déjà la société.

Ainsi il y des lois contre l'antisémitisme, il y a des lois pour la reconnaissance de l'esclavage transatlantique (comme cela avait été le seul esclavage), il y a des lois contre l'homophobie, il y a des lois pour les quotas de femmes (curieusement la magistrature qui est féminisée à 80 ou 90 % dans les nouvelles générations ne fait par l'objet de quotas), les musulmans veulent des lois contre l'homophobie, certains chrétiens parlent de "christianophobie", il y a des lois contre le "révisionnisme", mais sur une seul point particulier de l'histoire.

Toutes ces lois fragmentent la société. Les droits de l'hommes sont universels et tous les hommes en jouissent de manière égale. Il ne doit être fait aucune distinction selon le sexe, les mœurs, les croyances, les groupes de population, les époques, les opinions politiques, ni aucune discrimination selon des critères non substantiels de l'homme en matière de droits universels (sinon le concept devient incohérent).

C'est pourquoi toutes ces lois doivent être abolies au nom des droits fondamentaux et universels de l'homme. Ces discriminations ne doivent être opérées ni selon les victimes, ni selon les auteurs.

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