10.10.12

Le déni d'accouchement contre le droit à la vie

Monsieur Daoudal sur son blog lutte contre la dépénalisation de l'infanticide.

Il nous apprend ainsi que

La cour d’assises du Nord a acquitté hier une mère qui avait accouché de son enfant dans une fosse septique et l’y avait abandonné.
Si ces verdicts sont véritables, ils violent les droits des enfants à la vie et à la protection. 

Psychologiquement, il semble que la mère du bébé et du jeune enfant a souvent un sentiment de toute puissance sur l'enfant.  En tous cas, le "déni de grossesse" ne doit pas empêcher la répression de l'infanticide. La psychologie est une chose, le droit pénal et les droits fondamentaux de l'homme en sont d'autres.

Il existe un moyen de viol des droits de l'homme, c'est celui pour l'Etat de ne pas réprimer les actes criminels commis par des particuliers. C'est le cas depuis 1975 de l'avortement en France. Cela a été le cas, lors de la "nuit de cristal" (10 novembre 1938) où les magasins juifs avaient été attaqués et où des personnes furent assassinés et des lieux de culte saccagés par les nationaux-socialistes. Cette suite de crimes n'ont semble-t-il donné lieu à aucune répression contre la racaille antisémite coupable. C'était contraire au devoir de l'Etat de réprimer les crimes, les droits de l'homme exigent la répression des crimes.

Les droits de l'homme sont un bloc.

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