3.10.12

Application de la loi pénale en France

Selon le récit du journaliste du "Midi libre" (il n'est pas libre le Midi !), non pardon il s'agit de l'Indépendant de Perpignan, le 1er octobre des émeutiers amis d'un présumé trafiquant de drogue s'en sont pris à la police qu'ils ont menacé de mort, voulant communiquer avec l'individu.


« Dans l'après-midi, une trentaine de parents et amis s'étaient rassemblés quai Delâtre-de-Tassigny afin d'attendre un jeune homme, récemment arrêté dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants menée par la police judiciaire, à sa sortie de déferrement. Or, certains de ses proches, tenus à distance par la police, étaient pourtant déterminés à l'approcher avant son transfert pour la prison. Au point de donner subitement l'assaut, de tenter d'extirper leur "copain" du fourgon cellulaire tout en menaçant les forces de l'ordre de mort et en s'en prenant au portail du tribunal. Le battant, selon les témoins, a été cassé à coups de pierre et de pied, prenant au piège les véhicules des magistrats et empêchant toute escorte d'entrer ou sortir. »

L'auteur de l'article ne mentionne aucune arrestation pour ces faits très graves, il n'y aura probablement pas de jugement… Le journaliste minimise "parents et amis" est mis à la place de complices mafieux. Ces faits, qui dépassent le cadre du fait divers, ne feront l'objet d'aucune relation dans les médias nationaux.

Rappelons que monsieur Gabriac et 57 personnes ont été arrêtées sans ménagement pour avoir voulu manifester pacifiquement (aucune dégradation). Les Français sont des Untermenschen dans leur propre pays.

Il est vrai que dans un pays abortiste où les magistrats se parjurent en faisant un sale boulot, ou l'argent du Trésor public est utilisé pour une religion particulière après en avoir volé trois autres, où l'on s'apprête à dénaturer le mariage, où les médias d'Etat mentent effrontément, aucune turpitude n'est exclue.

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