Selon le site d'information "Nouvelles de France", un groupe de jeunes ont défoncé la vitrine qui contenait la prétendue "œuvre" et ont détruit la saloperie subventionnée par les deniers publics, donc par les jeunes qui l'on détruit.
Il est évident que cette action est une action de légitime défense. Cette "œuvre" invitait le public à mépriser les catholiques en exposant à la vue un objet qu'il vénèrent, dans un bocal de pisse. Il y avait provocation évidente à la violence contre les catholiques et au mépris des catholiques.
Le plus odieux est que cette provocation était financée par le Trésor public, c'est-à-dire par les deniers des catholiques (seuls les catholiques principalement vénèrent le crucifix, même les orthodoxes n'admettent pas un objet religieux en relief).
Article 122-5 du Code pénal :N'est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit, dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui, sauf s'il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l'atteinte.N'est pas pénalement responsable la personne qui, pour interrompre l'exécution d'un crime ou d'un délit contre un bien, accomplit un acte de défense, autre qu'un homicide volontaire, lorsque cet acte est strictement nécessaire au but poursuivi dès lors que les moyens employés sont proportionnés à la gravité de l'infraction.
L’attentat contre la liberté religieuse aurait semble-t-il, cessé. Les autorités françaises n'ont aucun titre à poursuivre les éventuels auteurs des faits (si la nouvelle est confirmée)
En revanche, ceux qui ont participé au financement de cette ordure avec les deniers des catholiques doivent répondre de leur attentat contre la liberté religieuse en France. (Articles 24 et 33 de la loi du 29 juillet 1881)
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