L'exposition Piss-Christ cause bien de la peine aux chrétiens dont le droit fondamental à la vénération de l'image du Christ est violé avec le concours du Trésor public (donc de leurs propres deniers).
Mgr Cattenoz a pris le risque de publier un communiqué qui lui vaut des articles diffamatoires dans la presse (bafouant massivement la liberté religieuse). Pour moi, je remercie Dieu d'avoir pour le diocèse d'Avignon, un si bon évêque qui a pris la peine et le risque de nous défendre en invoquant la "laïcité positive". (La laïcité positive, c'est celle qui respecte toutes les croyances conformément à la troisième phrase de l'article 1er de la constitution de 1958.)
L'association "France-jeunesse civitas", qui est une "courroie de transmission" de la Fraternité sacerdotale saint Pie X (FSSPX), a mis en place une "pétition".
Mais pour ce qui est de la protection des catholiques et même des chrétiens, l'évêque est le chef dans son diocèse. Nous nous devons en conséquence de le traiter avec le plus grand respect.
De plus, vu la provocation que constitue ce "piss-Christ" où se mêlent l'argent et le crime (car s'en prendre à la dignité de l'homme capable de croyances est un crime) subventionné par l'escroquerie, joints à l'impudence "officielle" des autorités laïques, violant jusqu'au droit positif humain, la tentation est grande de se mettre en colère.
C'est alors que se rappelant que la provocation est faite pour provoquer, il nous faut rester très calmes et respectueux de la tranquillité publique.
Nous invoquerons donc les droits fondamentaux de l'homme et nous invoquerons en particulier la liberté religieuse et la demanderons pour tous. Cela balaie toutes les arguties sur "l'art"sur la "liberté de l'art" qui ne tiendraient pas si l'on s'en prenait, par exemple, au général de Gaulle ou à Carla Bruni en trempant leurs portraits dans l'urine et en en photographiant les résultats.
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