Tout le monde, tout être humain, a droit à la vie, mais celle des plus faibles, donc celle des embryons lesquels ne se voient même pas, doit être particulièrement protégée car elle est plus menacée. C'est un rétablissement de l'égalité entre tous les êtres humains."[L'être humain] a le droit de ne pas être traité comme un objet à posséder ou comme une chose qui peut être manipulée à plaisir, de ne pas être réduit à un simple instrument au profit des autres et de leurs intérêts. La personne est un bien en soi et il faut toujours chercher son développement intégral.
Ensuite, l'amour pour tous, s'il est sincère, tend spontanément à se transformer en attention préférentielle pour les plus faibles et les plus pauvres. C'est dans cette ligne que se situe la sollicitude de l'Eglise pour la vie naissante, la plus fragile, la plus menacée par l'égoïsme des adultes et l'obscurcissement des consciences. L'Eglise répète continuellement ce qu'a déclaré le concile Vatican II contre l'avortement et contre toute violation de la vie naissante : « La vie doit être sauvegardée avec un soin extrême dès la conception » (Gaudium et spes, n. 51)."
Dans ce cadre le professeur suspendu qui a montré des foetus morts a rétabli le droit du fœtus à être vu.
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