Une manifestation de victimes de prêtres pédophiles a eu lieu à Rome. Le Père Lombardi, venu à sa rencontre a été obligé de rebrousser chemin car il se faisait conspuer.
Ce genre de manifestations n'est pas juste : en effet l'immense majorité des prêtres n'est pas pédophile. Concédons qu'il y a eu toutefois des abus, c'est certain surtout à partir des années soixante du XXème siècle.
Mais ces manifestations de pédophilie et de diverses agressions sexuelles est le signe d'autres viols des droits de l'homme bien plus graves quoique non physiques.
La lutte acharnée d'un certain clergé et jusqu'au pape contre les droits des catholiques à leurs cultures et à la liberté religieuse lors de la tyrannique imposition du rite de Paul VI et du "nouveau calendrier", dénotent une profonde agressivité à l'encontre du catholicisme tel qu'il était vécu. Cette agressivité était gratuite et absolument illégitime.
Mais pour en revenir à la pédophilie, cette agressivité se manifestait aussi contre la pudeur, contre l'ascèse, contre la culture chrétienne des dix commandements qui demande la répression des désirs sexuels (dixième commandement).
La triste Françoise Dolto élevée dans une ambiance issue d'une famille ultra-catholique est exemplaire à cet égard.
Voilà ce que l'on lit sur la page wikpedia consacrée à cette personne :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Dolto
"En 1977, elle est l'une des signataires de la première des deux Pétitions françaises contre la majorité sexuelle qui appellent à l’abrogation de plusieurs articles de la loi sur la majorité sexuelle et la dépénalisation de toutes relations consenties entre adultes et mineurs de moins de quinze ans (la majorité sexuelle en France)."
Les médias disent, la pédophilie, c'est à cause du célibat des prêtres (on dirait qu'ils sont obligés d'être prêtres et obligés de le rester, or il y a des prêtres mariés.). En réalité ce n'est pas le "conservatisme" (lire la loi naturelle) qui est en cause. Madame Dolto se présentait comme catholique elle a même été invitée à faire une conférence à Rome, l'année de la mort de Paul VI sur "Psychanalyse et spiritualité", soit deux ans après avoir signé sa pétition pro-pédophile... Ce n'est pas dans la liturgie, ni dans les pères de l'Eglise que l'on faisait lire cette littérature pédomaniaque, quand même !
Aujourd'hui, c'est donc avec à tort que l'on attaque l'Eglise et la loi naturelle, alors que c'est la littérature pédophile répandue dans le clergé, les idées hostiles à la loi naturelle, qui sont en cause et non saint Augustin ou saint Thomas d'Aquin, ou le dixième commandement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire