« Charles Maurras qui affirmait de manière prophétique dans L’Action française du 13 juillet 1926 : « Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. Il n’y a peut-être pas de réveil de l’Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l’on fait se trouve aussi être la plus vaine des choses. Mais, s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on en puisse douter, un trophée de cette foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où enseignèrent tous les plus grands docteurs de la chrétienté anti-islamique représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir. On pouvait accorder à l’Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c’étaient choses lointaines, affaires d’Afrique ou d’Asie. »
Charles Maurras, dont certains font un prophète, marque dans ce texte ces terribles limites. Un esprit étroit incapable de comprendre l'unité de l'humanité, incapable de comprendre la mission universelle de la France et de l'Europe.
L'érection de la mosquée de Paris était, certes, un attentat contre la liberté religieuse de la France. D'abord parce que la France est catholique. Ensuite parce que l'érection de cet édifice religieux au moyen d'un financement public (la municipalité de Paris donna le terrain et le trésor public français finança par un prêt) est évidemment viol cynique de la "loi" du 9 décembre 1905 et surtout un attentat contre les droits universels de l'homme (l'humanité est divisée de croyances).
Mais ce que l'on appelle l'islam, qui est en fait un ensemble de croyances disparates, de superstitions diverses réunies sur le refus arbitraire de la Trinité et de Jésus-Christ, est directement contraire à la liberté religieuse partout dans le monde. Que l'infâme maréchal Lyautey (un monarchiste catholique) ou l'antipathique Napoléon aient favorisé l'islam ne constitue pas en bonne action ce qui est objectivement un vol et une tyrannie. Que la tyrannie islamique s'exerce en Afrique et en Asie ne doit pas nous laisser indifférents. Les droits de l'homme sont universels. La fraternité est universelle.
Que je hais cette idéologie française des Bonaparte (dont je rappelle qu'il utilisa des soldats musulmans, les mamelouks, contre le peuple espagnol, en Europe, à Madrid), de Maistre, Lyautey, Maurras et autres traditionalistes et nationalistes français ! Ils se sont faits (comme Rousseau, Voltaire, Nietzsche dont ils étaient les contradicteurs apparents) les fourriers de l'islam, ils furent les hérauts de l'asservissement de la France à la fragmentation maçonnique de l'humanité et par voie de conséquence à l'asservissement de l'Europe en général et de la France en particulier.
En effet, si le sel vient à s'affadir, il n'est plus bon à rien. Il sera foulé aux pieds. C'est ce qui arrive à la France en 2016 où trois ministres marocaines (Najat Valaud-Belkacem à l'Éducation nationale et Myriam El Khomry au Travail et Audrey Azoulay à la culture) occupent des postes de premier plan dans le gouvernement français. Les Français sont ainsi gouvernés par des étrangères. Je ne crois pas qu'un seul Français occupe un seul poste, même très modeste, dans un quelconque gouvernement dans tout le Maghreb.
Je ne suis pas pétainiste, mais j'aime bien ce mot du maréchal Pétain: "Je hais ces mensonges qui nous ont fait tant de mal."
Établissons la liberté, l'égalité et la fraternité.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire