30.12.16

Voilà pourquoi ceux qui promeuvent ou organisent n'importe quelle religion au moyen des fonds publics doivent être punis

L'abbé Pagès publie un article sur la Fondation des œuvres de l'islam.

Il parle d'islamisation. À mon avis parler d'islamisation est un piège favorable à l'islam. Notre bon abbé y tombe. Ce qui compte ce n'est pas l'islam. Ce qui compte c'est l'ordre public des droits de l'homme.

Voici ce qu’enseigne la Déclaration Dignitatis humanæ:

« Ce Concile du Vatican déclare que la personne humaine a droit à la liberté religieuse. Cette liberté consiste en ce que tous les hommes doivent être exempts de toute contrainte de la part tant des individus que des groupes sociaux et de quelque pouvoir humain que ce soit, de telle sorte qu’en matière religieuse nul ne soit forcé d’agir contre sa conscience ni empêché d’agir, dans de justes limites, selon sa conscience, en privé comme en public, seul ou associé à d’autres. Il déclare, en outre, que le droit à la liberté religieuse a son fondement réel dans la dignité même de la personne humaine telle que l’ont fait connaître la Parole de Dieu et la raison elle-même. Ce droit de la personne humaine à la liberté religieuse dans l’ordre juridique de la société doit être reconnu de telle manière qu’il constitue un droit civil. »
Donc, en faisant financer par les trésors publics (qu’ils soient français ou étrangers) cette « Fondation pour les œuvres de l’islam » promue officiellement par le Premier ministre, et gérée par un individu nommé par le Président de la République viole la laïcité de l’État, la liberté religieuse et le droit de propriété, la liberté de conscience. 

De plus, la SNCF, SNI, Aéroport de Paris sont des démembrements de l’État.

Mensonge, vol, viol de la liberté et de l’ordre public français et universel sont à la base de cette Fondation.

Elle est donc radicalement nulle cette fondation. Et ceux qui la promeuvent doivent être poursuivis et punis. Ils doivent rendre l’argent.

Déclaration des droits de l’homme et du citoyen partie du "bloc constitutionnel" français:
Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
Art. 15. La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.

Mais surtout:

« Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. »

Les questions de foi ne sont pas d'utilité commune car l'humanité est divisée de croyances.

Rendez l'argent, escrocs, voleurs !

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