« Il faut en premier lieu reconnaître que, au-delà du pluralisme des visions, la coexistence avec les autres représente un bien à préserver et cultiver, et cela exige le respect pour la liberté et les droits des personnes. N'est pas liberté celle qui croit pouvoir tout railler, même ce qui est sacré pour l'autre. »
Il n'existe donc aucun droit à railler arbitrairement les croyances des autres. Je ne peux m'emparer d'une croyance sacrée d'un autre pour la traîner dans la boue, de plus avec l'argent de l'autre, ce qui est une monstrueuse injustice... La raison nous enseigne que l'homme au milieu des êtres naturels est mis à part pour Dieu ; il est sacré. Personne ne peut donc profaner sa liberté. C'est une des principales conditions de la coexistence pacifique des libertés que l'État doit promouvoir et non combattre.
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