Sous ce lien, une scène allégorique avec pour thème l'avortement: une femme en marbre et ensanglantée pleure et un enfant de verre les pieds ensanglantés semble vouloir la consoler. C'est l'avortement.
Étonnant talent de l'artiste contemporain à la fois émouvant et vrai.
En effet, les femmes ayant subi un avortement souffrent leur vie durant d'hallucinations. Elles voient l'enfant petit dans son berceau, puis il va à l'école, il leur parle, il tend les bras à sa maman, il grandit, il a vingt ans, il... C'est caché et c'est à devenir folles ! Les femmes qui subissent cela croient être seules à le subir. Elles sont culpabilisées... "C'est votre passé judéo-chrétien ! C'est tout !" La femme en conclut: "Je dois être anormale."
C'est, semble-t-il, un phénomène général et mystérieux, inexplicable par le matérialisme. Il est occulté par les médias favorables à l'avortement.
J'ai connu ce phénomène, plus tard confirmé par diverses sources, par des confidences indirectes de ma fille Hélène morte le 30 avril 2008. Elle avait recueilli des confidences de connaissances (féminines évidemment) de son entourage. Il existe aussi le témoignages écrit d'une femme ayant avorté sept fois qui entendait des cris de bébés venant de sous son lit... Finalement cette allégorie de l'avortement le confirme encore.
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