Vu sur le site de Le Figaro. En novembre 2011 Agnès Marin mourait sous les coups d'un violeur âgé de 18 ans.
L'assassin avait violé une autre jeune fille quelques mois plus tôt. Après ce viol et avant jugement, il fut rapidement libéré par une juge d'instruction de Nîmes. Il fut envoyé par la juge de Nîmes dans un pensionnat, un pensionnat MIXTE. Le crime de novembre 2011 est donc le résultat d'une faute des magistrats de Nîmes.
En 2014, la cour d'assises condamna l'auteur des faits d'assassinat à la réclusion criminelle à perpétuité.
Aujourd'hui les parents et grands-parents de la victime demandent réparation à... la magistrature (le Conseil supérieur de la magistrature).
Pourtant l'individu était mineur au moment de premiers faits de viol.
Il est consternant de constater combien les juges prennent les faits de viol avec légèreté.
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