30.4.15

Hélène Merlin-Poudré, il y a sept ans

Il y a 7 ans vers 9 heures 30 disparaissait ma fille Hélène et son fils Ferdinand dans des conditions non élucidées.

Bien que son mari ait très rapidement "refait sa vie", la "justice" française, à la suite du notaire m'a spolié des biens qu'Hélène m'avait laissés. La "justice" française a même poussé le zèle jusqu'à me condamner à une amende pour recours abusif. Elle l'a fait pour montrer de quel côté penchait son cœur. Ce n'était pas du mien.


Hélène avait aussi pris de cours de chant. Elle avait appris à aimer le chant en écoutant le Regina cæli de Mozart interprété par Emma Kirby




Pensez ! Par exemple, je ne voulais pas payer la taxe d'habitation de la nouvelle épouse, ni payer la taxe foncière si le veuf avait l'usufruit ! Quelles prétentions fantaisistes !

Je n'aurai donc pas de souvenir d'elle, ni même la liste des souvenirs (refus de l'inventaire en violation de l'article 600 du code civil) du fait de la magistrature assermentée et décorée.

Si la justice n'est pas rendue en ce monde, elle le sera nécessairement dans l'autre. Il paraît que dans ce monde le Bon Dieu brade les réparations, dans l'autre monde on paierait au prix fort.

Souviens-t'en, malhonnête magistrat français !

Quant à elle, réfléchissant à son étranger destin, je vois que le Bon Dieu a voulu la prendre d'un monde qui n'était pas digne d'elle.

Je continuerai à prier pour elle et à faire célébrer des messes pour elle.

Chers lecteurs, n'oubliez pas de le faire, vous qui l'avez aimée. Elle a beaucoup souffert sur la terre du fait de situations familiales particulières.

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