28.2.14
L'ordre nouveau de Robert Jackson
Robert Jackson (TMI vol. XIX p. 415, à 11" environ de la vidéo) énonce un fait généralement adroitement dissimulé encore aujourd'hui. Ce fait, c'est le "caractère unique et remarquable de cette assemblée" (le TMI qui fonde l'ordre public de 2014, voir la loi Gayssot). Cet ordre public nouveau rend les institutions existantes depuis cette époque étrangères "aux mécanismes constitutionnels d'aucune des nations signataires" (selon les mots même du Procureur Robert Jackson). Nous sommes donc devant un ordre institutionnel nouveau et hétérogène à toutes les institutions préexistante (selon Jackson du moins). Étranger donc aux cultures anglo-saxonne, française et soviétique. C'est l'ordre public des chambres à gaz.
Ce sont les préambules (1946, 1948) qui énonceront l'ordre nouveau d'un droit non plus de justice mais d'agression d'une partie de l'humanité.
C'est un ordre nouveau qui date de cette époque, un ordre de guerre perpétuelle contre la culture et les peuples européens, y compris la culture révolutionnaire de 1789. Le terme de "guerre" n'est d'ailleurs pas adéquat, car il s'agit d'agression perpétuelle et unilatérale. Cet ordre nouveau prétend se rattacher à l'ordre des droits de l'homme, mais en réalité, c'est un arbitraire, un pur relativisme existentialiste. Conforme au mot d'ordre cartésien, cet ordre nouveau "avance masqué" derrière les droits de l'homme qui sont pourtant son contraire.
Merci en tous cas à monsieur Reynouard de nous permettre d'accéder à ces documents généralement occultés et de réfléchir ainsi à l'aspect institutionnel des problèmes qui se posent à nous en 2014.
Pour moi, il est évident que le national-socialisme de monsieur Reynouard n'est en aucun cas à même de répondre à cet ordre nouveau. Il est incapable de rétablir la justice. Au contraire, il semble bien, involontairement et inconsciemment, le renforcer ne serait-ce qu'en occultant les vrais problèmes et par sa négation des droits universels de l'homme et sa fausse conception du bien commun.
Seul un ordre public universel, ferme, catholique fait de vérité, donc d'impartialité, de droits de l'homme, justice et solidarité universels serait susceptible de rétablir l'ordre et la paix.
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