4.12.11

Sarkozy contre les droits de l'homme en Libye et en France


Je n'oublie pas les atrocités commises par les avions français agissant sous les ordres de Sarkozy en Libye. Si Sarkozy n'a pas respecté les droits de l'homme en Libye, il ne les respecte pas plus en France où il trouve des complices dans la magistrature et chez les hauts fonctionnaires. En voici un exemple :
(Lu ici sur le site de Riposte-catholique) Madame Smits rend compte dans un article de "Présent" de l'audience qui s'est tenue début décembre. 
Elle rapporte malicieusement que 

"L’affaire a été plaidée sous le regard du Christ crucifié, de la Vierge des Douleurs, et du saint roi Louis. Une reproduction du Retable du Parlement de Paris, magnifique Crucifixion peinte au XVe siècle, qui jadis veillait sur la justice dans la cour d’appel d’Ancien régime, dominait le « cabinet » où l’audience a eu lieu."

Elle ne le note pas, mais l'existence de ce retable rappelle que la France est chrétienne et que c'est son droit, n'en déplaise à la franc-maçonnerie et à ses associations "courroie de transmission" laïcistes. L'article 28 de la loi du 09 décembre 1095 sur la séparation des Églises et de l'État est contraire aux droits fondamentaux de l'homme. Dans la même ligne, j'ajouterais également ces remarques sur les droits fondamentaux de l'homme et sur leur rejet par le lefebvrisme selon un commentaire que j'ai proposé à Perepiscopus de "riposte-catholique".

Merci à l’AGRIF et à Présent. Dommage qu’ils n’osent invoquer les droits universels de l’homme, donc la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme. Car il n’y a pas de « liberté d’expression » contre la liberté d’expression (article 17 de la Convention). Contrairement à ce que disent et professent les lefebvristes, les droits de l’homme ne souffrent d’aucune contradiction internes. Ces dispositions du droit positif français et européen, voire mondial, ce ne sont pas des affirmations gratuites ou machiavéliques ; mais ces dispositions sont fondées sur la vérité de l’homme.
Les vrais défenseurs de la liberté d’expression sont les manifestants, les vrais oppresseurs sont Sarkozy et sa clique de ministres et de magistrats. Car Garcia ment et agresse l’homme et sa liberté en recelant l’argent des contribuable volé par Sarkozy et sa clique.
Dommage que l’influence du lefebvrisme permette à Sarkozy et à sa clique, donc à sa "magistrate" représentante, d’invoquer un droit, inexistant en l’occurrence sans être efficacement contredite.

"Interdiction de l'abus de droit" (article 17 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme)"Aucune des dispositions de la présente Convention ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un Convention européenne des droits de l’homme  groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Convention ou à des limitations plus amples de ces droits et libertés que celles prévues à ladite Convention. "
Précision : Madame Smits me répond ce dimanche matin, sur son blog, qu'à l'audience maître Triomphe (le toreaodor qui fait face à trois taureaux) a invoqué les conventions internationales dont la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme. Dont acte, la représentante du Parquet qui a eu la parole en dernier, qui a défendu l'agression de "Golgota picnic", était donc d'une évidente mauvaise foi, mais d'une mauvaise foi au frais du contribuable. Elle qui est spécialement payée par les contribuables pour défendre la bonne foi et la vérité n'est pas d'une mauvaise foi gratuite.

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