21.2.16

Les "migrants" illégaux sont-ils titulaires de privilèges ?

Dans un État de droit tous les citoyens respectent le droit objectif (ensemble des règles de droit en vigueur) et les droits subjectifs.

Dans les cas douteux et en cas de conflit, des magistrats sont préposés par l'État à faire respecter le droit et les droits dans un esprit de fraternité.

Dans l'idéal, ce système est un système d'équilibre où, en général, les droits sont respectés et où la miséricorde ou, autrement dit, la fraternité, vient arranger les situations douloureuses et les injustices tolérables.

Les immigrés illégaux sont ceux qui se sont introduits sur le territoire national sans autorisation.

Selon un prêtre, Paterculus, sur le Forum catholique:

« Le renvoi des immigrés illégaux dans leur pays d'origine est une oeuvre de justice.
Comment voulez-vous que les citoyens d'un pays se sentent tenus d'obéir à la loi de leur pays si les étrangers n'y sont pas tenus ? »

Sauf les droits fondamentaux et naturels des illégaux (égaux à ceux des nationaux), cette vérité est une évidence. Pourquoi les uns seraient-ils dispensés de respecter le droit et les autres, objets d'éternels reproches et parfois injures seraient-ils, eux obligés de respecter le droit ?

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