12.2.16

Encore un déni de justice magistrateux !

Un homme avait crié qu'il faisait allégeance à Daesh (Selon Thierry Meyssan, un truc inventé par les chefs sionistes, et les chefs Anglo-Saxons).

Les juges français, jamais lassés de leurs dénis de justice, l'ont condamné à de la prison ferme.

Petit problème, une expertise psychiatrique avait été ordonnée, mais elle n'a pas eu lieu faute de moyen financier. (L'État trouve l'argent pour tuer les bébés, mais n'en trouve pas pour protéger les populations).

Dans un pays normal, avec des juges normaux, il aurait dû être relaxé puisque le doute doit bénéficier au prévenu et que personne n'était très sûr que cette faute "d'apologie du terrorisme" (qui en réalité n'en est pas une, mais je ne peux m'étendre, faute de temps. Je dis simplement qu'elle dépend de la lecture des journaux...) cette faute donc n'est pas imputable au prévenu dont le mental était très perturbé.

Les juges dans un pays normal passeraient en correctionnelle, voire aux assises pour avoir infligé une peine sans avoir la certitude de l'imputabilité de la faute.

Il n'y a pas à s'étonner. Je rappelle que les magistrats, complices des faussaires et des escrocs, m'ont spolié à plusieurs reprises. Par exemple en  me condamnant à une amende de 800 € pour avoir demandé à ne pas payer la taxe foncière de l'usufruitier à l'occasion du partage des biens de ma fille morte dans des conditions non-élucidées (du fait de l'incurie magistrateuse). Il paraît que c'était de la procédure abusive, mais tellement abusive que seule une amende pouvait calmer le salaud de père que je suis !

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