17.2.16

Le pape Léon XIII chante la fierté de l'Italie et de l'Europe



C'était du temps de la fierté européenne, du temps où l'Europe ne se sentait pas coupable (au nom de l'anti-racisme et de l'égalité à la naissance).

Il ne faut idéaliser aucune époque. La fin du XIXe siècle et le début du XXe avait ses difficultés. Aujourd'hui nous avons fait des progrès sur bien des points, mais l'ambiance de culpabilité nous a ôté notre fierté.

J'ai perdu ma force et ma vie 
Et mes amis et ma gaieté
J'ai perdu jusqu'à ma fierté
Qui faisait croire à mon génie.

Quand j'ai connu la Vérité
J'ai cru que c'était une amie
Quand je l'ai comprise et sentie
J'en était déjà dégoûté.

Et pourtant elle est éternelle
Et ceux qui se sont passé d'elle
Ici-bas ont tout ignoré

Dieu parle, il faut qu'on lui réponde
Le seul bien qui me reste au monde
Est d'avoir quelquefois pleuré.

Etrange contradiction ! Musset s'est rapproché de la religion car il l'a vue comme une amie véritable. Puis, il s'en est dégoûté, sans cesser de voir que c'était la vérité, donc nécessairement une amie.

Ce qui l'a dégoûté dans la religion n'était certainement pas la vérité. Il n'a pas, du moins à l'époque où il écrit ces vers et selon ce qui m'apparaît, il n'a pas cherché à réduire cette contradiction. A la fin, cette paresse devant les apparentes contradictions produit le relativisme.

La religion,  la "splendeur orientale" nous parle notre douce "langue natale" dans l'unité de l'humanité.

Pauvre Europe ! Enfermée par ses proclamations de liberté, d'égalité et de fraternité ayant perdu sa fierté du fait d'avoir apporté la Lumière au monde. C'est l'enchantement maçonnique, c'est le bonneteau de la propagande sionisto-américaine.

Retrouvons-donc notre fierté dans la fraternité universelle ! Nous serons plus libres et peut-être plus libres encore que ne l'étaient nos ancêtres sur ce cap d'Asie. Car un qui ressuscite n'est pas comme un qui n'est jamais mort.

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